Quand on pense accessoires de luxe, on oublie souvent les lunettes. Or, à l’ère de l’image et sur ce segment marché, les porteurs de lunettes manifestent un fort besoin de faire de cet objet un accessoire différenciant.

C’est précisément l’ambition de l’opticien chevronné Alexandre Caton qui a créé en 2018 la marque haut de gamme, lazare studio. Elle s’adresse à celles et ceux recherchant une monture et des verres de qualité, au prix juste et à la fabrication exemplaire. 

Le meilleur des modèles traditionnels associé à des matériaux innovants

L’alchimie des lunettes singulières de lazare studio, positionné sur le créneau du néo-rétro, repose sur le mélange des formes classiques et intemporelles couplées à des techniques de fabrication innovantes. En clair : réunir le meilleur de l’ancien en terme de design avec ce qui se fait de mieux maintenant pour la fabrication.

Le choix de composants de qualité est couplé à un travail d’usinage réalisé par les meilleures manufactures mondiales. La marque a développé une technique de charnières intégrant des composants en kevlar. Le travail d’assemblage et de finition soigné repose sur des artisans français de qualité, ce qui justifie des fourchettes de prix à partir de 345€ pour la collection classique et 470€ en finition « precious wabi-sabi ».

Une attention particulière est portée à la dimension durable du projet : des lunettes et des composants de qualité pour les garder plusieurs années, le moins de packaging possibles, une dimension humaine forte avec des artisans choisis.

Financer un atelier de finition

Alexandre Caton mise sur le crowdlending et a choisi de solliciter la plateforme myOptions.co. :

→ pour répondre à la forte demande et assumer le développement de la marque

→ la création de son propre atelier de finition

→ la constitution d’un stock conséquent afin d’éviter les aléas de livraison. 

“J’aime l’idée de cette alternative proposée par le financement participatif, souligne le créateur. Cela permet de se challenger et de poser un autre regard sur le projet que l’on défend.”

“J’aime l’idée de cette alternative proposée par le financement participatif, souligne le créateur. Cela permet de se challenger et de poser un autre regard sur le projet que l’on défend.”